L’aéroport dispose de son propre système de collecte et d’une déchetterie interne ; hors réseau urbain. Les déchets sont ensuite acheminés vers des centres de tri externes et traités selon leur nature.

Les entreprises de la plateforme sont impliquées dans la gestion de leurs déchets. 

Des campagnes de sensibilisation permettent de rappeler les règles de tri, adapter les équipements le cas échéant et maximiser la valorisation des ressources.

Plus de 750 tonnes de déchets sont collectés par an.

Les sources principales de production des déchets sont liées à la restauration des passagers, mais aussi des personnels, au fonctionnement courant de l’administration, à l’entretien des infrastructures aéroportuaires, des aéronefs et des zones végétalisées.

En premier lieu, on trouve les déchets non dangereux, les déchets en mélange, les cartons et papiers, le verre, les biodéchets et déchets verts, le bois, le métal, les encombrants.

Il faut aussi considérer les déchets dangereux (inflammables, toxiques, dangereux pour l’environnement) qui font l’objet de règles de gestion particulières :

- Aérosols des passagers récupérés au moment de l’embarquement (déodorants, bombes lacrymogènes).

- Déchets industriels (principalement huiles usagées, filtres à huiles/carburant, chiffons et emballages souillés, aérosols, batteries, diluants, solvants, kérosène).

- Piles, tubes fluorescents et lampes.

- Déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE)…

Au mois de décembre 2024, le taux moyen de recyclage était de 30 %.

Notre objectif ? Revaloriser 60 % de nos déchets en matière d’ici à 2025.